Île de Pâques
Petite fille, je me souviens avoir dit en regardant un livre : "Ces statues sont magnifiques, j'aimerais beaucoup les voir en vrai" et l'on m'a alors répondu : "C'est sur un caillou perdu au milieu du Pacifique, très peu de gens y vont car il n'y a rien à faire..."
J'ai gardé au fond de moi ce rêve de les voir un jour mais je ne pensais pas qu'il se réaliserai et pourtant aujourd'hui, nous y sommes!
Arrivé sur l'île, le chauffeur du camping nous accueille avec des colliers de fleurs. Les femmes ont toutes une fleur derrière l'oreille ou une couronne de fleurs sur la tête. Le RÊVE des îles polynésiennes peut commencer. Et oui, l’île de Pâques est rattachée au Chili, mais géographiquement, elle fait partie de la Polynésie!
Le camping ressemble beaucoup à une auberge de jeunesse où toutes les nationalités se retrouvent dans la cuisine partagée pour préparer son repas. L'ambiance est chaleureuse et pleine de vie!
Dès le lendemain matin, nous décidons de louer une voiture pour faire le tour de l'île... A peine sorti de Hanga Roa, la seule ville de Rapa Nui, nous arrivons sur une côte sauvage et très découpée. Nous commençons par le site de Rano Raraku, carrière et atelier où les Moais étaient sculptés puis transportés aux quatre coins de l’île.
Nous nous laissons subjuguer par les énigmatiques Moais éparpillés dans un paysage très mystérieux...
Le site semble avoir été abandonné du jour au lendemain, laissant les Moais inachevés...
Depuis les hauteurs, nous apercevons de loin le site le plus impressionnant de l'île : Tongariki qui compte pas moins de 15 Moais. C'est notre prochaine destination...
Après avoir visité plusieurs sites nous arrivons sur la côte nord. Les nuances de bleu sont éblouissantes!
Direction la petite plage de Ovahe. Les enfants y testent leurs nouvelles planches gonflables achetées au Décathlon de Santiago et découvrent les magnifiques fonds marins avec les coraux et poissons colorés!
Le lendemain nous décidons de rejoindre le volcan de Rano Kau et les ruines du village d'Orongo. Les sites sont relativement proche du camping et nous partons en randonnée qui démarre dans une belle forêt d’eucalyptus.
Au camping, nous rencontrons Yves, un des employés, originaire de Polynésie. En discutant avec lui, il nous propose de venir pécher avec lui dans l'après-midi.
En plus de pêcher suffisamment de poisson pour nourrir la moitié du camping, il nous enseigne sa technique, très simple et imparable! Nous sommes prêts pour la Polynésie!
Retour au camping... Les enfants ramassent du bois flotté sur les rochers pour ...
... préparer le barbecue du soir afin de cuire notre pêche.
Les amis de Yves nous rejoignent et nous partageons ce délicieux repas tous ensemble au son du ukulélé.... L'ambiance est magique!
Les enfants se prêtent au jeu en les accompagnant à la guitare...
... sans oublié la fameuse flûte de pan!
Le repas est riche en rencontres et en échanges avec des couples de globe-trotter. Nous échangeons sur nos parcours et sur nos expériences vécues...
Le lendemain, nous profitons d'un dernier pique-nique au bord de l'eau avant de reprendre l'avion. Nous avons beaucoup de mal à quitter ce coin de paradis!!!
Avant de partir, nous croisons au bord de l'eau un petit groupe d'adolescentes qui fabriquent des couronnes de fleurs polynésiennes.
Les filles en prennent pleins les yeux !!!
Il est temps pour nous de reprendre l'avion après cette escale trop courte sur ce caillou perdu au milieu du Pacifique. Nous mesurons la chance que nous avons d'avoir pu venir voir de nos propres yeux ces mystérieuses statues. A près de 3000 km de là, c'est la Polynésie Française et sa multitude d'îles paradisiaques qui nous attend!
Dès le lendemain matin, nous décidons de louer une voiture pour faire le tour de l'île... A peine sorti de Hanga Roa, la seule ville de Rapa Nui, nous arrivons sur une côte sauvage et très découpée. Nous commençons par le site de Rano Raraku, carrière et atelier où les Moais étaient sculptés puis transportés aux quatre coins de l’île.
Nous nous laissons subjuguer par les énigmatiques Moais éparpillés dans un paysage très mystérieux...
Le site semble avoir été abandonné du jour au lendemain, laissant les Moais inachevés...
Depuis les hauteurs, nous apercevons de loin le site le plus impressionnant de l'île : Tongariki qui compte pas moins de 15 Moais. C'est notre prochaine destination...
Direction la petite plage de Ovahe. Les enfants y testent leurs nouvelles planches gonflables achetées au Décathlon de Santiago et découvrent les magnifiques fonds marins avec les coraux et poissons colorés!
Le lendemain nous décidons de rejoindre le volcan de Rano Kau et les ruines du village d'Orongo. Les sites sont relativement proche du camping et nous partons en randonnée qui démarre dans une belle forêt d’eucalyptus.
En plus de pêcher suffisamment de poisson pour nourrir la moitié du camping, il nous enseigne sa technique, très simple et imparable! Nous sommes prêts pour la Polynésie!
... préparer le barbecue du soir afin de cuire notre pêche.
Les amis de Yves nous rejoignent et nous partageons ce délicieux repas tous ensemble au son du ukulélé.... L'ambiance est magique!
Les enfants se prêtent au jeu en les accompagnant à la guitare...
... sans oublié la fameuse flûte de pan!
Le repas est riche en rencontres et en échanges avec des couples de globe-trotter. Nous échangeons sur nos parcours et sur nos expériences vécues...
Le lendemain, nous profitons d'un dernier pique-nique au bord de l'eau avant de reprendre l'avion. Nous avons beaucoup de mal à quitter ce coin de paradis!!!
Avant de partir, nous croisons au bord de l'eau un petit groupe d'adolescentes qui fabriquent des couronnes de fleurs polynésiennes.
Les filles en prennent pleins les yeux !!!
Il est temps pour nous de reprendre l'avion après cette escale trop courte sur ce caillou perdu au milieu du Pacifique. Nous mesurons la chance que nous avons d'avoir pu venir voir de nos propres yeux ces mystérieuses statues. A près de 3000 km de là, c'est la Polynésie Française et sa multitude d'îles paradisiaques qui nous attend!
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